Catégories : Hommes fessés
il y a 4 ans
J'allais avoir 18 ans et à la rentrée suivante en septembre, m'attendait la rentrée en classe de terminale, y préparant la seconde partie du bac scientifique ; mes résultats étant moyens, ma mère décida de faire appel à sa meilleure amie, Geneviève G., professeur dans un collège-lycée voisin à une cinquantaine de kilomètres de chez moi et toutes deux convinrent que cette dernière année de terminale, je la suivrais dans le lycée où exerçait Geneviève, tout en étant non pas interne au lycée, mais chez Geneviève qui occupait seule une grande maison dans laquelle elle pouvait m'héberger toute l'année scolaire, ne retournant chez les miens que durant les vacances scolaires.
Ce n’est pas sans crainte que je bouclais mon cartable et ma valise pour plusieurs semaines (rentrée en septembre et premières vacances scolaires pas avant Noël en fin d'année !), connaissant la solide réputation d’autorité que Mlle Geneviève avait acquise au cours de sa carrière. Presque de l’âge de ma mère, entre 35 et 40 ans, c’était une célibataire endurcie et un professeur très exigeant avec ses élèves qu’elle se jurait de faire réussir par tous les moyens.
La jeune femme qui habitait seule dans un pavillon, m’y reçut, puis m’informa en détail des arrangements matériels de mes après-midis à venir, avant d’en venir au programme de son enseignement qui s’annonça plutôt strict.
« Seras-tu assidu dans tes efforts ? Sinon, si tu montres des signes de paresse ou de distraction, j’userai sans hésitation avec toi de la même méthode qu’avec mes élèves féminines de la sixième à la terminale pour lesquelles leurs parents m’ont demandé de les prendre en cours privés. Chaque mercredi et samedi après-midis, j’examinerai ton travail pour juger de ton assiduité et de tes résultats et sache qu’il te sera inutile de me cacher ou taire tes mauvaises notes. Je t’autorise à une seule et unique mauvaise note en dessous de la moyenne, toutes matières confondues. Si cela arrivait, tu seras sévèrement puni et, malgré tes 18 ans, tu recevras une magistrale fessée, couché sur mes genoux et déculotté le mercredi ou/et le samedi ».
Elle ne semblait pas du tout plaisanter et l’éventualité de cette menace me fit rougir jusqu’aux oreilles …
Geneviève, munie de mes relevés de notes des années précédentes, me demanda de la suivre dans son salon et nous primes tous deux côte à côte sur le canapé. Pendant de longues minutes silencieuses, elle consulta silencieusement mes bulletins trimestrielles de mes classes de sixième à la première, dans un silence que je n’osais rompre, seulement interrompu par le crissement du nylon de son collant lorsqu’elle croisait et décroisait les jambes … Elle me fit remarquer qu’en langues (anglais et allemand … elle était prof d’anglais) elle n’avait aucune remarque à me faire, ni en histoire et géographie, mais ce qui n’était pas le cas pour les mathématiques et sciences physiques, aussi me demanda-t-elle pourquoi et il me fallut bien lui avouer que puisque ces matières ne m’intéressaient pas, je les étudiais superficiellement.
Elle me précisa qu’il était inutile de lui cacher dans le cas où cela arriverait dans les semaines et mois à venir mes mauvais résultats ou de lui mentir car bien souvent elle en aurait connaissance avant moi, car elle allait se mettre en rapport avec mes principaux professeurs. J’appris alors que si je revenais dans la semaine avec plus d’une mauvaise note, toutes matières confondues, que je pouvais préparer le mercredi ou samedi mes fesses dès qu’elle me convoquerait dans son bureau quand elle jugerait seule du moment à me punir. Dès ce moment fixé, je devrais l’y rejoindre, debout devant le bureau de justifier mes résultats, sans mentir. Ensuite, elle se lèverait de son bureau, placerait une chaise au milieu de la pièce, s’y assiérait et ensuite je devrais la rejoindre, pantalon et culotte baissés, prendre place sur ses cuisses et y recevoir la fessée.Elle me précisa qu'une fois la sanction prononcée, plus je la ferais attendre en retardant mon déshabillage, puis ma mise en place sur ses genoux, qu'elle n'hésiterait à me déculotter elle-même et à me positionner, qu'elle pouvait me faire confiance car elle était sportive et plus grande que moi et que je paierais les conséquences de mon manque d'obéissance, en plus de celui de travail, de quelques bonnes claques supplémentaires sur mes fesses nues !!!
La première semaine me sembla parfaite. Elle consista essentiellement en travaux de révisions et j’étais plutôt content de moi … Geneviève aussi … La semaine suivante, commencèrent à la fois les travaux sérieux et les ennuis pour mes fesses … Si j’effectuais régulièrement en soirée mes travaux scolaires et devoirs dans toutes les matières, il n’en était pas ainsi pour réviser les leçons apprises la veille et dans certaines matières, mais à ma surprise, les professeurs avaient adopté, le principe de l’interrogation écrite rapide sur un quart de feuille ; nous devions alors extraire de notre classeur, une feuille format A4 (nous écrivions alors sur des feuilles à petits carreaux) et en silence et rapidement, en moins de 5 minutes, répondre à 5 questions écrites sur le tableau, portant sur le cours de la veille, chaque question rapportant 4 points chacune … les copies étaient ensuite redistribuées au hasard par le prof et corrigeaient par nous ; ainsi nous connaissions aussitôt nos notes … C’est ainsi que le mardi suivant tombèrent deux « interro » surprises : une en mathématique et une en français (sur un auteur) et chacune me rapporta que 8 points, soit deux notes inférieures à la moyenne …
Je suis sûr, maintenant avec le recul, que dès le soir même, Geneviève avait connaissance de mes résultats, mais ne me fit aucune remarque, attendant le lendemain, le mercredi après-midi. En ce début d'année scolaire, ce tout premier mois, mes mercredis après-midi n'étaient pas encore occupés par des devoirs surveillés, aussi après les cours, le midi , un peu inquiet, même si en moment fort je pensais fermement convaincu que la menace d'une fessée à mon âge n'était qu'une menace dissuasive, je rentrais déjeuner, Geneviève n'ayant pas de cours les mercredis m'attendant pour déjeuner. Pendant tout le temps où dura notre repas en commun dans la cuisine, je ne fus donc pas étonné de deviner son mécontentement, mais elle ne fit aucune allusion à mes mauvais résultats.
Comme après chaque repas, nous fîmes la vaisselle, Geneviève lavant et moi essuyant. J'allais récupérer mes affaires et monter rapidement en chambre à la fois pour y travailler, mais aussi ne pas attendre les questions de Geneviève, lorsqu'elle m’ordonna de la suivre dans la pièce lui servant de bureau pour lui expliquer mes mauvais résultats ... Prenant place, assise derrière, derrière son bureau, elle attendit mes explications, qui tout compte fait étaient fort simples et ne nécessitaient pas de longues explications. Je n’avais ni révisé, ni appris ce que nous avions vu la veille en français et en mathématiques et la surprise de l'interrogation écrite rapide était tombée, avec correction immédiate et mauvaises notes.
Geneviève se leva de son bureau, prit sa chaise sur laquelle jusqu'à présent elle était assise, la positionna au milieu de la pièce, s’y assit et me fit signe de venir debout face à elle. D’un ton autoritaire, elle m’ordonna de baisser mon pantalon et mon slip pour me fesser tel que cela avait été convenu dès le premier jour de mon arrivée, deux semaines auparavant. Je me sentis soudain penaud, cette exigence vestimentaire et cette punition me paraissant aberrante, vu mon âge, je me mis à protester et à lui faire part de mes réticences de lui obéir pour être puni de cette méthode et dans cette tenue, ce qui eut comme effet de la contrarier, de l'irriter ensuite et de la rendre encore plus autoritaire et déterminée qu’elle n’y paraissait.
Regardant sa montre, elle conclut ainsi :
"Très bien, mais de toute façon, tu ne sortiras de cette pièce qu'après avoir été bien fessé comme promis, même s'il faut attendre. De toute façon, dans une trentaine de minutes, une de tes camarades vient pour un cours particulier et tant pis pour toi et ta réputation s'il doit attendre dans le salon que tu aies fini de recevoir la fessée et du salon elle entendra bien sûr le bruit des claques sur tes fesses nues. A toi de choisir, mais je n'ai vraiment pas de temps à perdre avec les caprices d'un jeune homme, alors approche !"
Elle prit alors, elle-même les choses en mains, avec une f o r c e que je n’avais pas soupçonnée, m’attirant sur sa droite, tout contre ses cuisses, me tirant par la taille et entreprit de me déculotter. Et comprenant qu'il était pour moi, inutile de lui résister, avec en plus la crainte d'être surpris en délicate posture par l'arrivée programmée d'une camarade, je ne lui résistais pas, mais ne fis rien pour l’aider dans ce déshabillage laborieux.
Geneviève, dégrafa le bouton de la ceinture du pantalon, puis rapidement en baissa le zip de la braguette et avant d’avoir eu le temps de protéger mon intimité de mes deux mains, mon pantalon et mon slip étaient déjà baissés à mi-cuisses. Décroisant les jambes, ce qui remonta sa jupe et découvrit ses cuisses, faisant apparaître la lisière de bas nylon, Geneviève fermement, me tira en avant vers elle, me basculant et m’allongeant en travers de ses cuisses. Cette posture désagréable m’obligea d’essayer de me rétablir à l’horizontale, Geneviève me lâcha alors momentanément la taille, me poussa les épaules, jusqu'à me faire bien pencher en avant, mes mains touchant les lames du parquet. Pour ne pas tomber plus bas, par réflexe, je posais les mains à plat sur les lattes de bois, puis saisit à deux mains les pieds de la chaise, craquant sous nos poids, gardant la tête baissée.
Une main me maintenant fermement par la taille, l’autre continuant à me déculotter, pantalon et slip baissés plus bas que mes genoux, elle commença à me sermonner sur mon manque d’assiduité, mes négligences à travailler, remarquant avec humour que de « préparer une jeune fille pour une fessée était beaucoup plus simple et rapide qu’un garçon … les filles étant moins récalcitrantes et plus résolues à être fessées jupes retroussées et culottes baissées… question d’habitude ! »
Rougissant, je m’imaginais mal alors, fille, jupe retroussée, culotte baissée, fesses rehaussées comme l’étaient les miennes à ce moment précis, tandis que Geneviève continuait de me sermonner. Dans cette tenue et position, je ressentis plusieurs choses … d'abord un courant d'air frais sur mes fesses nues, mais aussi la paume fraîche de la main de Geneviève sur mes fesses. Un sentiment à la fois de honte et de culpabilité d'être ainsi livré fesses nues sous le regard d'une "étrangère" et surtout sa main qui me semblait à la fois longue et fine, épousant la forme arrondie de mes fesses. Enfin, un sentiment de bien être d'être ventre nu, mais aussi intimité nue contre le tissu de sa jupe en laine et le nylon glacé et rêche de ses bas ...
Sans prévenir, sa main décolla de mes fesses nues et la fessée débuta sévèrement à grandes claques cuisantes, alternativement d’une fesse à l’autre, marquant une courte pause entre chaque fesse, avant de reprendre. Cette fessée me surprit par sa sévérité, sa durée et la cuisson rapide de mes fesses. La longue main de ma « préceptrice » continuait à me fesser avec la même f o r c e et sévérité, la paume de sa main tombant bien à plat, tantôt en plein milieu de la fesse tantôt sur le dessous, et parfois sur les plis fessiers au-dessus des cuisses. Je ne savais jamais vraiment quand les claques allaient tomber, serrant des dents et aussi des fesses dans l’attente, mais Geneviève qui avait une vue privilégiée sur mes fesses nues à portée de sa main, savait, elle, comment et quand les claquer, au moment où je m’y attendais le moins et que la tension de mes fesses se relâchait.
Après un temps relativement long de plusieurs minutes, Geneviève mit fin à ma punition, et convaincue qu’elle venait de chauffer mes fesses pour mon plus grand bien, elle m’autorisa à me relever. Empêtré par mon pantalon qui avait glissé sur mes chevilles, après chacune de mes ruades, je restai agenouillé à ses pieds, contre sa jupe et ses cuisses, un moment à me frotter les fesses, espérant une diminution rapide de la cuisson.
Geneviève attendit la fin de mes massages, puis m'ordonna de me reculotter et de monter dans ma chambre y travailler. Après avoir remis de l'ordre dans ma tenue, slip et pantalon remontés sur mes fesses brûlantes, je quittais rapidement le bureau, traversant le salon où par chance l'élève attendue n'était pas encore arrivée.
Une fois dans ma chambre, je venais juste d'en refermer la porte quand j'entendis sonner à la porte d'entrée : le rendez-vous de Geneviève. La sachant retenue un long moment pour son cours particulier et sachant qu'elle ne risquait pas d'arriver à l'improviste dans ma chambre, je me déculottais à mi-cuisses pour vérifier l'état de mes fesses dans le miroir de ma penderie et pour constater qu'elles étaient écarlates et les caressant, je fus surpris par leur chaleur. Rapidement je me rhabillais et m'asseyais avec précaution pour me mettre au travail, mais chaque fois que je bougeais sur ma chaise, mes fesses douloureuses, se rappelaient à mon bon souvenir tout au cours de l'après-midi.
Une fois son rendez-vous parti, Geneviève vint me trouver et le seul commentaire qu'elle me fit sur cette première fessée fut :
"J'espère que tu as compris que tu es ici avec moi pour travailler, sinon sache que je suis prête à recommencer autant de fois que ce sera nécessaire ! Tes fesses seront fatiguées avant moi !"
Le soir même et les jours suivants, elle ne me fit plus aucun commentaire ou allusion à cette première fessée privative entre nous. Après cette sérieuse « prise en main » de sa part, autant dire que je me suis tenu tranquille et suis devenu travailleur assidu pendant deux semaines minimum ... mais, fin septembre, une fois cette période laborieuse passée, je me relâchais ce qui me valut cette fois deux bonnes fessées dans la même semaine ... je me fis surprendre par un devoir de math avec une note de 8/20, ainsi que d'un de français avec un 7/20... dès le mercredi matin, Geneviève eut connaissance de mes résultats en math, ce que je compris à son regard en la croisant dans la matinée dans les couloirs de l'établissement...
Dès le retour du lycée je savais ce qui m'attendait après le déjeuner, mais à ma surprise, Geneviève n'attendit pas le déjeuner car à peine rentrés, manteaux ôtés et cartables posés, elle me fit prendre de suite la direction de son bureau où debout face à moi, bras croisés, regard sévère, me dominant d’une bonne tête, même sans ses escarpins, elle écouta mes explications ... et me fis immédiatement ce commentaire :
"J'espérais que tu avais compris la dernière fois que tu ici avec moi pour travailler, mais cela ne semble pas encore acquis … allez en tenue et en position sur mes cuisses et en vitesse !!!!"
Hésitant encore à me déculotter entièrement, je dégrafais et baissais uniquement mon pantalon, gardant mon slip sur mes fesses ... entre temps, bien sûr, Geneviève avait déjà pris et mis une chaise en place, sur laquelle elle était déjà assise, remontant sa jupe à mi-cuisses, faisant ainsi à nouveau apparaître la lisière de ses bas chair et ses jarretelles blanches, ce qui m’émut et me fit rougir … de l’index elle me fit signe d’approcher et me désigna ses cuisses, en travers desquelles je pris place, à nouveau tête en bas, mains au sol et derrière sur élevé … Une fois en place, Geneviève, me précisa : « Fesses nues t’ai-je dit ! » et joignant le geste à la parole, me déculotta généreusement jusqu’aux genoux, pantalons et slips baissés …
Sans perdre de temps, elle se mit immédiatement à l’ouvrage, et cette fois mes fesses crépitèrent à la fois rapidement, sans me laisser prendre conscience de l’air frais caressant mes fesses nues, ni le contact rêche de bas contre mon ventre et mon intimité nue, l’intervalle entre chaque claque étant insignifiant, la paume de sa main rebondissant sur chacune de mes fesses alternativement … de nouveau je n’eus ni la tête, ni les fesses, ni le temps de compter combien de claques tombèrent, mais plusieurs dizaines, ni le temps de compter le temps … de toute façon, tête en bas je ne voyais ni horloge, ni montre et ne les entendais pas non plus, le seul bruit dans la pièce étant celui de claques sèches et rapides sur mes fesses nues … j’eus beau promettre de mieux travailler, battre des jambes, rien n’y fit, Geneviève poursuivant mon éducation … la seule pause pour moi fut lorsque les fesses bien douloureuses et en feu, je cherchais à me les protéger des deux mains … Geneviève cessa de me corriger, mais d’une main elle me lâcha la taille pour me saisir les poignets, qu’elle courba au creux de mes reins et sa main reprit sa cadence de fesseuse expérimentée … quand enfin, elle cessa, j’avais des larmes dans les yeux !!!
Je me relevais immédiatement sans attendre, me reculottant rapidement, tandis que Geneviève se levant et lissant sa jupe m’ordonna d’aller préparer la table pour le déjeuner … elle n’avait eu connaissance que du 8/20 en mathématiques et à priori pas du 7/20 en français … je me sentais mal et craignais le pire quand elle le saurait … peut-être aurais-je dû lui annoncer avant cette nouvelle fessée ? En tous les cas, vu l'état de mes fesses, je me voyais mal lui avouer après déjeuner, mais elle allait le savoir rapidement, ce qui ne prévoyait rien de bon pour mes fesses fort mal en point en fin de semaine !
Me relevant immédiatement et me reculottant rapidement, je disparaissais dans la cuisine y préparer la table pour le déjeuner de ce mercredi … mais inquiétude de ma part, Geneviève n’avait donc eu connaissance que d’une seule et unique mauvaise note, le 8/20 en mathématiques et à priori pas du 7/20 en français … devais-je le lui avouer de suite, mais je craignais une seconde fessée immédiate que mes fesses bien douloureuses n’auraient certainement pas supporté, alors tant pis quand elle le saurait … mais tout compte fait, peut-être aurais-je dû lui annoncer ?
Jeudi et vendredi passèrent sans la moindre remarque de Geneviève soit sur le chemin du retour, soit lors de nos repas en soirée et en tête à tête, quoique je me sentais observé et même si moralement et surtout physiquement, principalement du côté de mes muscles fessiers, j’étais résigné à une nouvelle bonne fessée, pour ne pas dire correction, sans aucune faute le samedi après-midi …
Ce samedi après-midi attendu et redouté, arriva, mais rien ne se passa … impossible que Geneviève n’ait pas eu connaissance, soit par le registre de notes des classes, soit par une de ses collègues de ma seconde mauvaise note de cette semaine … Au cours du dîner, Geneviève ne fit aucun commentaire, mais seulement à la fin, m'annonça enfin qu’elle avait eu connaissance de ma seconde mauvaise note hebdomadaire, tout en précisant que nous réglerions ceci plus tard, avant la fin du week-end et je fus étonné en cette fin de soirée, de n'être ni convoqué et fessé ni dans son bureau comme cela s’était habituellement et auparavant produit, ni dans le salon, ni même immédiatement dans la cuisine ! Mais je fus quand même privé de soirée TV et immédiatement envoyé me coucher.
Le lendemain, dimanche matin, Je descendis en pyjama, comme je le faisais chaque matin pour prendre mon petit déjeuner dans la cuisine où Geneviève m’attendait. Déjà habillée, en robe et escarpins, manteau et sac à main sur le dos d’une chaise, elle m’annonça qu’elle devait se rendre en ville chercher ses revues à la librairie voisine, mais qu’avant elle avait attendu que je descende de ma chambre et qu’avant que je prenne et finisse mon petit déjeuner, qu’elle allait rapidement régler entre nous ce différend sur cette seconde mauvaise note et qu’elle allait me fesser maintenant avant de sortir en ville ; je la vis installer une chaise au milieu de la cuisine, elle s’y assit tout en prenant soin, comme à chaque fois, de remonter sa robe haut sur ses cuisses pour m’éviter de la froisser en y prenant position à plat ventre et je ne pus m’empêcher de rougir, du moins du visage pour le moment, lorsque j’aperçus la lisière de ses bas chair et les attaches de ses jarretelles blanches …
Et c’est tout ému car sachant qu’il était inutile de lui résister, que je répondis au signe impérieux de son index droit m’ordonnant de m’approcher d’elle, puis tout contre ses cuisses et ses bas sur sa droite … Contrairement aux deux fois précédentes, elle n’exigea pas que je me déculotte avant de prendre position, mais le fis elle-même, prenant soin, avec lenteur de tirer vers le bas la ceinture élastique de mon pantalon de pyjama, ce qu’elle fit sans difficulté par rapport aux fois précédentes quand je portais un pantalon classique, avec boutonnière et zip … Le pantalon de toile légère tomba rapidement sur mes chevilles et Geneviève m’ordonna aussitôt de m’en débarrasser en l’enjambant, tout en me tapotant mes fesses nues de ses deux mains … J'enjambais le pantalon, pieds nus sur le carrelage froid de la cuisine et nu de la taille aux pieds, face à elle ; me tirant en me tenant d’une main les poignets et de l’autre me poussant des fesses, elle me fit rapidement basculer en travers ses bas nylon, rugosité des bas, surprenante par rapport à la tiédeur des cuisses de leur propriétaire …
Me maintenant toujours les poignets bloqués de sa main gauche dans mon dos, ce qui ne prévoyait rien de bon sur la continuité des événements car jusqu’à présent, Geneviève ne me maintenait par les poignets que lorsque je cherchais à me protéger les fesses des deux mains lorsque intensité et chaleur de la fessée qu’elle m’administrait devenaient insupportables … Buste penché en avant, le visage à quelques centimètres du sol en carrelage dont je sentais à la fois la fraîcheur, mais aussi celle de la pièce effleurant mes fesses nues tendues vers la main droite de Geneviève qui tardait à entrer en action en me claquant les fesses, mes les effleurant pour l’instant des extrémités de ses doigts …
Cette situation, cette position, ainsi que la tiédeur des cuisses de ma correctrice, commençaient à produire sur mon intimité plaquée contre le nylon des bas, une situation qui aurait du être agréable, mais dans la situation actuelle devenait désagréable, surtout que Geneviève allait s’en rendre tôt ou tard compte, en constatant ma raideur naissante contre ses cuisse et ce qui ne tarda pas …
« J’ai l’impression que l’attente de cette fessée plus que méritée semble t’exciter ! Tu aurais du m’avouer ta deuxième mauvaise note mercredi soir, ce qui aurait eu pour conséquence pour toi de recevoir une nouvelle fessée en soirée, mais moins sévère que celle que je te réserve et que tu vas recevoir … et comme l’attente d’une bonne fessée semble t’exciter et comme tu sembles aussi aimer la fessée, et bien je ne vais pas te décevoir ! »
Geneviève appuya de son bras gauche sur mes épaules, sans me lâcher les poignets, pour me faire encore plus pencher en avant, ce qui me déséquilibra encore plus vers l’avant d’un côté, tandis que de l’autre, la pointe e mes pieds ne touchaient plus le sol ; sa main droite caressante jusqu’à présent, décolla de mes fesses nues et tendues et elle commença à me fesser fermement , par une bonne douzaine de claques très fortes sur chacune des fesses alternativement, claques qui résonnèrent bruyamment à la fois sur mes fesses et dans la cuisine, me f o r ç a nt à me débattre sur place pour atténuer la cuisson.
Après une courte pause, pendant laquelle il me sembla que Geneviève admirait son ouvrage, une nouvelle série de claques vinrent à la fois enflammer mes fesses, mais aussi embuer mes yeux de larmes même si ma fierté m’imposait d’implorer Geneviève d’arrêter, cette nouvelle fessée ravivant la douleur de celle reçue quelques jours auparavant, tout aussi claquante, mais beaucoup moins cuisante et longue ! Au final je ne pus m’empêcher de la supplier d’arrêter entre deux s a n g lots, mais rien n’y fit, la fessée continuant de plus belle et je finis par ne plus me débattre plaqué en travers de ses cuisses, malgré la brûlure et la douleur insupportables …
Quand la fessée cessa enfin et je ne sais pas combien de claques j’avais reçu en tout … tout ce que je ressentais, après cette magistrale correction, c’était l’affreuse brûlure qui s’étendait sur toute la surface de mes fesses tout entières tant j’avais été fessé avec une extrême sévérité … Ramassant et enfilant rapidement mon pantalon de pyjama sur mes fesses nues et retournant rapidement dans ma chambre … malgré une douche glacée sur la partie la plus charnue de ma personne avant de m’habiller, la cuisson persista jusqu’à la fin de la matinée et sembla se raviver quand Geneviève revint de sa sortie avec ses revues ...
A partir de cette mémorable fessée, mes résultats scolaires s’améliorèrent, surtout quand Geneviève annonça que désormais elle adopterait, systématiquement pour son côté pratique et rapide, la fessée en pyjama pour laquelle, je serais seulement vêtu de ma veste de pyjama …
Après une courte semaine de congé scolaire début novembre, pendant laquelle je pus rentrer chez les miens, je revins ensuite chez Geneviève, ayant compris que je devais absolument travailler et la fessée disparut de mon séjour chez Geneviève, mais pas de mon éducation, car une de ses amies, « prof » elle aussi veillait, mais cela est une autre histoire ...
Deux mauvaises notes dans la même semaine, m’avaient coûté deux bonnes fessées claquantes, cuisantes et rougeoyantes, l’une le mercredi après-midi et l’autre le dimanche matin avant le petit déjeuner … ramassant et enfilant rapidement mon pantalon de pyjama sur mes fesses nues, écarlates et brûlantes, j’étais alors retourné rapidement dans ma chambre … malgré une douche glacée sur la partie la plus charnue de ma personne avant de m’habiller, la cuisson persista jusqu’à la fin de la matinée et sembla se raviver quand Geneviève revint de sa sortie avec ses revues ... ces dernières bonnes fessées à la fois « éducatives » et « punitives » à l’automne cette rentrée scolaire , rapidement m’encouragèrent à mieux travailler et dès novembre disparurent de mes mercredis et samedis …
Fin juin de l’année suivante, une fois les épreuves du baccalauréat passées et les résultats connus, avec la joie de l’avoir obtenu, l’avant-dernière semaine de la fin des classes, j’avais manqué de respect – disons plutôt de politesse – à une jeune femme et professeur, Mlle Bénédicte, laquelle nous surveillait lors d’une étude au lycée où malgré la fin des programmes, Geneviève ne voulant pas me laisser seul dans sa maison, m’avait contraint de retourner quelques jours, quelques heures au lycée. Comme je ne cessais pas de bavarder avec mon voisin de table, Mlle Bénédicte m’avait convoqué à la fin de l’après-midi et menacé de deux heures de colle, ce à quoi je lui avais répondu que je n’en avais rien à f… et qu’elle n’avait qu’à aller se faire voir. Surprise, elle avait rougi sans relever l’insulte et ne m’avait ni collé ni envoyé chez la directrice.
De retour à la maison, le soir même, Geneviève ne me fit aucune réflexion ou remarque et j’en concluais qu’elle n’avait rien su de mon accrochage avec sa jeune collègue. Ces six derniers mois, j’avais remonté la bonne pente, avais obtenu le bac avec une mention et les fessées de Geneviève n’étaient plus que de lointains et cuisants souvenirs de début d’année. Encore une dernière semaine chez et avec Geneviève et la semaine suivante j’allais retourner parmi les miens et bénéficier de deux bons mois de vacances avant la rentrée universitaire.
Ce samedi, en milieu d’après-midi, soudain quelqu'un sonna à la porte et Geneviève me demanda d’aller ouvrir et surprise Mlle Bénédicte se tenait à l'entrée ! Je compris tout de suite que j’allais avoir quelques petits ennuis, comme devoir justifier mon attitude et à coup sûr fournir explications et excuses envers la jeune professeure. Geneviève apparût et convia sa collègue à prendre le thé, accompagné de biscuits, que je ne fus pas autorisé à déguster, restant debout auprès des deux dames, sommé de donner des explications sur mon attitude et mon insolence.
Sans la moindre surprise, Geneviève donnait raison à sa collègue, mais précisa toutefois que de me punir de quelques heures de colle à moins de quinze jours de la fin des cours ne servait à rien et n’aurait aucune efficacité ; elle ajouta qu’elle avait une solution plus radicale et efficace pour apprendre la politesse à un lycéen, même en fin de terminale ...
Je m’attendais bien sûr à une fessée, ce qui ne m’était plus arrivé depuis de longs mois, ayant compris dès le premier trimestre que Geneviève ne renoncerait pas à me faire étudier et que je devais rapidement me mettre au travail pour éviter ses fessées claquantes et cuisantes hebdomadaires. Mais cette nouvelle fessée, je m’y attendais après le départ de Mlle Bénédicte et bon gré, mal gré, je m’en étais fait une raison !!! Mais à ma grande surprise et honte, Geneviève annonça à sa collègue qu’elle allait me fesser immédiatement devant elle ! Et joignant le geste à la parole,
Geneviève se leva, invitant sa collègue à nous suivre dans son bureau, lieu traditionnel de mes précédentes fessées, tout en m’ordonnant de les y précéder.
Sachant qu’il était inutile de discuter, c’est avec une boule au ventre que je me dirigeais vers cette pièce. Si cette nouvelle fessée par elle-même ne m’effrayait pas car je savais que je n’y échapperais pas et que tout compte fait, je m’y étais habitué, mais la recevoir devant un témoin, qui de plus devant une de mes professeurs me mettait très mal à l’aise.
Une fois tous trois réunis dans le bureau, Geneviève plaça une chaise au milieu de la pièce, s’y assit et m’ordonna d’approcher et cette fois, non pas de baisser, mais d’enlever complètement pantalon et slip, avant de m’allonger sur ses genoux. C’est rouge de confusion et de honte que je m’exécutais assez lentement, même si je savais qu’il était inutile de jouer la montre, le tout sans regarder ni Geneviève, ni Mlle Bénédicte, que je délaçais et ôtais mes chaussures, puis dégrafais mon pantalon, le baissais sur mes genoux et chevilles, avant de l’enjamber et de l’ôter.
Devant la lenteur de mes gestes, Geneviève baissa elle-même mon slip qui tomba sur mes chevilles puis, m’ordonna de l’enjamber. Par chance pour moi, mon polo d’été protégeait mon bas ventre. Geneviève, comme d’habitude, remonta sa robe d’été sur ses cuisses, robe sous laquelle malgré la belle saison, elle portait des bas clairs et fins retenus par des jarretelles blanches et me tenant par un bras, me bascula rapidement en travers de ses cuisses.
Comme elle l’avait maintes fois fait, une fois allongé à plat ventre, en déséquilibre, en travers de ses cuisses, Geneviève me maintint fermement par la taille, et une fois bien en position, m’ordonna de lui tendre mes mains qui étaient à plat sur le sol, bloqua mes poignets au creux de mes reins, ce qui ne prévoyait rien de bon pour la suite des événements, ayant déjà par une fois utilisée cette méthode, par laquelle il était impossible de chercher à protéger ses fesses de ce qui les attendait et remonta mon polo au-dessus de mes reins afin de bien dénuder, préparer et exposer mes fesses nues ... Geneviève invita alors sa jeune collègue à s’approcher et à se tenir debout derrière nous, sur la droite, du côté où mes fesses nues étaient le mieux exposées pour mieux apprécier le spectacle qui allait se dérouler sous ses yeux !
Geneviève bloqua mes poignets au creux des reins, remonta mon polo sur ma taille afin de bien dénuder et exposer mes fesses nues de la taille aux pieds, pour ce que je devinais aller être la plus belle fessée de cette fin d’année scolaire. Elle invita sa jeune collègue à se tenir derrière la chaise sur laquelle elle se tenait assise, me maintenant fermement, poignets bloqués au creux des reins. Mlle Bénédicte se déplaça et vint se placer debout derrière nous, pour mieux apprécier le spectacle qui allait se dérouler sous ses yeux !
Penché en avant, le plancher sous le regard, je devinais que d’où se tenait Mlle Bénédicte, qu’elle avait une belle vue plongeante sur mes fesses et bien plus à ma grande honte, sur ma jeune virilité, les fesses ainsi bien tendues et rehaussées, prêtes sous la main de Geneviève. Savoir leur regard à toutes deux, même si j’en avais l’habitude avec Geneviève, aggrava mon malaise et surtout ma honte de savoir mes fesses observées par une « étrangère » et je ne pus m’empêcher de bien les serrer pour protéger mon intimité.
Posant sa main droite sur ma fesse droite, Geneviève annonça à sa collègue qu’elle allait d’abord lui faire la démonstration d’une fessée pour insuffisances scolaires, collégien et lycéen, fille ou garçon, même en classe de terminale, surtout celles et ceux suivant ses cours privés et tout particulièrement moi depuis le début de l’année scolaire, notifiant au passage que cela faisait un long moment que j’avais perdu l’habitude d’être fessé, mes résultats étant excellents en cette fin d’année, mais pas mon éducation …
Sa main décolla de mes fesses, instinctivement je les serrais encore plus et aussi mes dents et la fessée commença à crépiter à cadence rapide et en alternance sur chacune de mes fesses.
Même si j’en avais perdu l’habitude, je sentais mes fesses tressauter et s’endolorir sous les claques répétées, et comparée aux fessées que reçues précédemment, celle-ci fut plus brève, mais beaucoup plus intense et je me dis quand Geneviève s’arrêta enfin, que tout compte fait, mis à part l’avoir reçue déculotté devant témoin, je m’en tirais pas trop mal et que j’allais pouvoir rapidement me relever et m’enfuir vers ma chambre. Geneviève, me maintenant toujours plaqué contre ses cuisses, précisa que cette fessée éducative n’était pas assez sévère pour me punir de mon insolence envers une de ses collègues et que maintenant, elle allait lui montrer comment me donner une vraie bonne fessée pour me punir et m’ôter l’envie de recommencer à être insolent!!!
Joignant le geste à la parole, la paume de sa main se remit en action aussitôt, pour une fessée qui se révéla immédiatement être d’une intensité supérieure et comme jamais jusqu'à présent je n’en avais reçue. Sa main crépita sur mon derrière déjà douloureux, à un rythme plus rapide et plus soutenu qui cette fois me fit crier, me débattre et battre des jambes durant de longues minutes, tandis que Geneviève gardait le rythme des gifles bien appliquées en alternance sur chacune de mes fesses, mais aussi, au final, sur le haut de mes cuisses, à la limite des fesses.
Quand enfin elle cessa, je restais affalé en travers de ses cuisses, pleurant à chaudes larmes, me massant énergiquement les fesses de mes deux mains à nouveau libres … Geneviève me fit me relever et m’ordonna de rester à genoux, face à la chaise, fesses toujours nues, tournées vers l’entrée de la pièce, avec interdiction de bouger et de me retourner.
Se relevant, elle invita Mlle Bénédicte à la suivre et à retourner au salon pour poursuivre leur dégustation de thé, me laissant en larmes, fesses écarlates, brûlantes et douloureuses, toujours nues en direction de la porte restée ouverte. Par cette porte, je pouvais entendre leur conversation au cours de laquelle Geneviève démontrait les bienfaits de la fessée pour obtenir de bons résultats scolaire à tout âge de la fille ou du garçon.
Entre les bruits de tasse et cuillère, j’entendis Geneviève demander et ainsi proposer à sa jeune collègue, si cette dernière souhaitait passer aux travaux pratiques en m’administrant à son tour une fessée, laquelle accepta cette proposition. Revenant dans la pièce où je me tenais, à genoux, fesses bien exposées, Geneviève m’ordonna de me relever et d’aller prendre place sur les genoux de Mlle Bénédicte qui avait déjà pris place sur la chaise et m’y attendait, tout en se frottant les mains.
J’eus beau toutes deux les supplier, implorer le pardon de Mlle Bénédicte, rien n’y fit. Me saisissant une oreille et m’obligeant ainsi à me relever, Geneviève m’entraîna vers la chaise, sur laquelle, assise, Mlle Bénédicte m’attendait. Une fois à sa portée, cette dernière me saisit rapidement par les bras et la taille, et me déséquilibrant, me fit basculer en travers de ses cuisses et de sa robe d’été. Une fois bien en place, à nouveau mes poignets saisis par une de ses mains et bloqués au creux des reins, sans attendre, Mlle Bénédicte commença, séance tenant, à m’administrer une fessée me prouvant, ainsi qu’à mes malheureuses fesses, que malgré sa jeunesse, elle n’avait rien d’une novice pour imposer son autorité. La paume de sa fine main, claqua inlassablement mes fesses nues, les transformant en un incendie et ni mes cris, ni mes larmes, ni mes ruades ne l’impressionnèrent et ne modérèrent la sévérité de la fessée qu’elle m’administrait !
Quand enfin Mlle Bénédicte s’arrêta et que la fessée se termina, elle exigea, après m’avoir relâché et relevé, que je lui demande pardon, ce que je fis, à genoux devant elle, tout en pleurnichant et frottant mes fesses brûlantes des deux mains. Après quoi, Geneviève me tendit mes affaires, pantalon et slip et m’autorisa à regagner ma chambre où je m’enfuis, honteux, sans même me reculotter …
Les jours suivants et jusqu’au dernier jour de classe, Mlle Bénédicte retrouva un jeune homme respectueux.
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